• La vérité sur les radars...

    A bon entendeur.........

    Il y a quelques jours est passée, sur France 2, une petite info qui fait
    réfléchir......
    Sur un ton humoristique le reportage montrait un radar automatique, quelque part du côté de Clermont-Ferrand, qui avait été hors service pendant 3 semaines.
    Pourquoi ?
    Parce qu'EDF avait coupé le courant pour facture impayée !!! Drôle, non ?
    Mais ce n'est pas tout, le vraiment intéressant est ailleurs. En effet le
    journaliste nous expliqua que la société qui gère le radar n'avait pas payé
    en temps voulu sa facture d'électricité. La société qui gère le radar
    ????..............
    Quoi ?? Une société privée gère le radar ??? Je croyais que les radars
    dépendaient de l'état !!! Mais alors si on réfléchit cela veut dire qu'au
    passage il y a des gens qui se sucrent sur les infractions des automobilistes et que l'argent des amendes loin d'aller entièrement dans
    les caisses de l'état (ce qui serait un moindre mal) va en partie dans des
    poches privées !! Et on peut supposer (car aucune entreprise privée n'est
    une oeuvre philanthropique) que ces entreprises sont intéressées
    proportionnellement à la rentabilité des radars. La spéculation sur la
    sécurité routière, voilà la dernière trouvaille...
    On nous avait pas dit ça quand le gouvernement a lancé sa campagne.
    Il n'y a pas que la sécurité routière dans l'histoire mais aussi (et
    surtout ???)... Une affaire de profit !!! Et bien sûr, pour couronner le
    tout, le PDG de cette entreprise n'est autre que le frère du ministre
    Gilles de Robien !
    Si cette petite info vous choque faites la circuler, ça mérite d'être
    connu.
    Et le fait que ceci devienne connu n'est-il pas en rapport avec ce brusque
    frein au développement de ces fameux radars ?
    La peur d'un nouveau scandale . . . .
     

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  • Samedi 25 JUIN a partir de 16 h Rennes aux Gayeulles:dèbats à gogo; grillades, aux bords de l'eau à l'initiative du collectif pour une Europe sociale démocratique et solidaire :Que fait on après le 29 mai

    Jeudi 30 Juin à partir de 18H 30 Forum social local de Rennes : débat en ateliers :  bouffe  à la Ferme de la Harpe Villejean Rennes

    Vendredi 1er Juillet a partir de 18h 00 Rennes à Carrefour 18 métro Italie; venez débattre avec les sections de la L.C.R  Rennes,de la situation après la victoire du NON. Un apéritif joyeux et convivial pour conclure la soirée


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  •  

    Les sections Rennaises

    de la L.C.R

    vous invitent à débattre avec elles,

    de la nouvelle

    situation politique, issue

    de la victoire

    du Non au référendum

    le vendredi 1er juillet

                à partir de 18Hoo

                   à Carrefour 18

    7 rue d'Espagne Métro Italie Rennes

    Le débat sera suivi d'un apéritif convivial

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  • Mobilisation solidaire avec les sans-papiers
    à l'appel du Réseau Education Sans Frontière, SDEN-CGT 35, CNT, FCPE, FSU, LCR, MRAP35, VITRE ENSEMBLE AVEC LES SANS-PAPIERS, des individus...

     Dans de nombreux départements, les personnels de l'Education Nationale voient régulièrement disparaître de leurs établissements des élèves dont les parents sont sans papier.

    Le sort réservé à ces familles est clair : passage à la clandestinité dans une misère extrême ou reconduite à la frontière par les forces de l'ordre, suivie d'un retour dans un pays qu'elles ont été contraintes de fuir. Dans de nombreux cas, la police ou la gendarmerie se permet de s'emparer des enfants dans l'enceinte même des établissements scolaires et les utilise pour interpeller les parents. Des mineurs sont même placés en centre de rétention !

    La France est pourtant signataire de la convention des droits de l'enfant. La loi prévoit pour les enfants présents sur le territoire national la scolarisation jusqu'à 16 ans minimum. Qu'en est-il de l'intérêt supérieur de l'enfant dont on fait grand cas ? Qu'est devenue la fameuse « terre d'asile » ?

    Le gouvernement, à travers l'Office de Protection des Réfugiés et Apatrides (OFPRA) et les préfectures, refuse systématiquement les demandes de régularisation et d'asile politique au mépris des droits les plus fondamentaux. Quand il était ministre de l'Intérieur, de Villepin annonçait l'arrêt de toute régularisation, le durcissement des contrôles, la création d'une police de l'immigration et la promesse d'une grande « fermeté » avec les sans-papiers. C'est l'Etat français qui condamne ces population et viole ses obligations de respecter la Convention de Genève, sous prétexte de protéger ses « intérêts ».

     Cette situation est humainement inacceptable.

    A Rennes et dans ses environs, les situations se multiplient :

     - En Septembre, Randy, école Clemenceau, est privé d'école suite à la mise en rétention administrative de sa mère Mme Bondo à Rennes puis à Rouen.

    - En Décembre, c'est au tour d'Edith de subir le même sort. Elle, scolarisée à l'école de Livré sur Changeon, ainsi que son frère et ses deux petites sœurs suivent leurs parents, M. Ilinga et Mme Botondo, en rétention dans un hôtel de Betton.

    - En Février, c'est à Isaak de suivre son père, M. M'vemba, en rétention à Rouen. Scolarisé à l'école Joseph Lotte, il manquera l'école pendant 15 jours.

    - Lamya Jamaï Hakim, en CAP à Louis Guilloux, ainsi que ses parents et un de ses frères, sont menacés d'expulsion dès la fin de ses examens en juin.

    - Et maintenant, c'est Joséphine qui a manqué l'école, à Nouvoitou, du fait du placement en rétention de ses parents M. et Mme Malumba.

    Et ce ne sont que quelques exemples, la face visible de l'iceberg, qui grâce à la mobilisation, ont pu être connus. Une réunion rassemblant diverses organisations du Réseau Education Sans Frontière, ainsi que des professeurs et parents d'élèves, s'est tenue mercredi 8 juin 2005 :

    -          Nous refusons toute instrumentalisation des personnels de l'Education Nationale comme auxiliaires de police.

    -          Nous exigeons la régularisation de toutes les personnes sans papier.

    -          Nous demandons aux personnels de se mobiliser dans leurs établissements pour accueillir les élèves rejetés et protéger les élèves menacés ainsi que leurs familles.

     

    Samedi 18 juin 2005

     Place de la mairie  Rennes :Ø Pique-nique à partir de 12 hØ Manifestation à 15h30

     


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  • Du Raffarin en pire et en accéléré !
    Certains attendaient un grand coup d'éclat. Mais de Villepin s'est bien gardé d'évoquer à nouveau les 100 jours qui devaient tout changer. De Villepin racle les fonds de tiroir de feu le gouvernement Raffarin pour asséner de manière autoritaire, par ordonnances, au mépris de la démocratie et du vote anti-libéral du 29 mai, tout ce que la droite rêvait de faire avant le référendum : précariser encore plus l'emploi, avec de nouveaux contrats CDI transformés en quasi-CDD de deux ans, encadrer les jeunes sans diplôme par l'armée, sanctionner les chômeurs, baisser encore plus les cotisations patronales, prises en charge par l'Etat, faire exploser les seuils sociaux d'effectifs, accélérer les privatisations. Le Code du travail est attaqué. Ce gouvernement, clone d'un Chirac à bout de souffle, ne doit pas durer. Une riposte politique et sociale unitaire s'impose au plus vite dans les luttes, dans la rue, pour l'emploi, les salaires, les services publics, l'éducation.
    Le 8 mai 2005.



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